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David Tartaglione, rédacteur en chef de Carpe Scène Collector

A l'occasion du lancement demain de la nouvelle formule de Carpe Scène Collector (6,95 euros, codification 11656), le rédacteur en chef du magazine David Tartaglione répond à nos questions. 

 

Vous lancez une formule de votre trimestriel demain. Quelles nouveautés les lecteurs découvriront-ils ?
Nous accueillons de nouvelles plumes, dont certaines étrangères et des scientifiques, toujours avec beaucoup d'expériences dans leur domaine. Notre maquette est plus moderne, plus épurée. Nous mettons aussi l'accent sur le côté nature, avec de belles photos de la faune et de la flore. 

Nous renforçons aussi le lien entre le papier et les réseaux sociaux avec le lancement de jeux quotidien sur Facebook, avec plus de 200 lots à gagner.

 

Comment votre titre se distingue-t-il des autres titres de pêche et de pêche à la carpe ?
Nous sommes une publication conséquente de 116 pages, contre une soixantaine pour la plupart des autres titres de pêche. Nous nous adressons à des pêcheurs confirmés, avec des dossiers thématiques très pointus sur dix, douze ou quinze pages. Nos auteurs sont des spécialistes reconnus dans leur domaine, avec des années d'expérience. Nous avons aussi des articles historiques sur la pêche à la carpe.

 

Votre communication indique que Carpe Scène s'inspire des titres de pêche anglais. Comment cela se concrétise-t-il dans vos pages ?
Nous avons quelques auteurs anglais. Nous nous en inspirons sur la forme, mais sur le fond nous faisons différemment : nous refusons la forte présence du marketing des magazines anglais qui ne plaît pas aux lecteurs français, là où nos confrères étrangers font du quasi publi-rédactionnel.