Saison propice aux titres de vêtements DIY, le printemps est l'objet d'un double rendez-vous annuel pour Burda : un numéro spécial robe et un hors-série enfants. Deux publications que nous détaille la rédactrice en chef du titre, Elisabeth Gallan.
Pouvez-vous nous présenter vos deux publications, à paraître demain ?
Il s'agit de nos deux grands rendez-vous du printemps. Burda Style (6,50 euros, codification 03478) publie son numéro spécial robe d'été. Il se vend habituellement bien, car ce sont des pièces plaisir et parce qu'elles sont plus faciles à réaliser que les vêtements d'hiver. Nous publions également notre hors-série Kids (6,95 euros, codification 06760). Beaucoup de femmes se mettent à la couture à l'arrivée de leur premier enfant. Ce sont des vêtements plus petits donc achevés plus vite, ce qui est toujours satisfaisant quand on débute.
Comment expliquez-vous l'engouement renouvelé pour les vêtements à faire soi-même ?
Nos lectrices ne veulent pas ou plus des vêtements des grandes chaînes type H&M où les pièces sont faites uniquement pour les jeunes, indisponibles pour celles au-delà de la taille 40, voire 38. Les vêtements sont aussi très souvent de mauvaise qualité, à jeter après trois lavages. Il y a donc eu un retour vers le faire soi-même, un besoin auquel nous répondons. Nous proposons aussi des modèles personnalisables, que les lectrices ne verront pas partout dans la rue.
Qu'est-ce qui distingue la marque Burda Style des autres titres du même linéaire ?
Notre magazine existe depuis plus de 60 ans, il est leader sur ce secteur. Nous proposons une gamme très vaste, du modèle le plus simple à celui à la complexité quasi haute-couture. Notre richesse tient aussi dans notre inspiration, avec des pièces très classiques (trench, jupe crayon, robe fourreau, chemisier lavallière) que l'on twiste avec des détails contemporains, et, dans le même temps, des inspirations des tendances des défilés de maisons comme Chanel, Dior ou Jacquemus.