
C’est un gros glaçon qui émerge de la mer des revues. L’Iceberg, trimestriel de 136 pages (codification 18385), arrive demain chez les marchands de presse. Un nouveau titre dans l’univers écologique qui compte plonger dans les profondeurs des sujets (prix : 19 euros). Le titre est porté par les fondateurs du site Natura Sciences, qui font désormais le pari du papier. Ce premier numéro est tiré à 15 000 exemplaires et mis en place chez 4 000 marchands.
Une plongée dans les abysses
Chaque numéro promet à vos clients une plongée en profondeur sur une thématique cruciale. Des autres magazines du segment, L’Iceberg diffère par son approche, qui cherche à mêler à la fois les analyses scientifiques, militantes, mais aussi culturelles. Pour Chaymaa Deb, la rédactrice en chef du média, "l’idée est de transmettre une information qui va être pluridisciplinaire pour que le lecteur puisse s’approprier le sujet". Au-delà d’une approche simpliste, le média se veut un espace d’échange et un laboratoire d’idées, pour permettre au public de repenser l’écologie et les défis de notre époque.
Un premier numéro qui coule de source
Pour ce premier Iceberg dans l’océan, les équipes de la rédaction n’ont pas eu besoin de chercher des heures un sujet et se penchent sur les glaciers. Dans le grand entretien, Heïdi Sevestre viendra apporter son éclairage sur ces géants des mers. La glaciologue est d’ailleurs marraine de ce premier numéro. Les lecteurs pourront naviguer entre les différentes disciplines abordées, toujours rattachées à ces gros blocs d’eau glacée. Les grands défis de l’adaptation sont également évoqués. Il est question de déménager Miquelon, mais aussi des solutions pour s’adapter au manque d’eau.