Désormais, le 24 février ne sera plus une date comme les autres. Elle est devenue une date dont on se souviendra longtemps et qui sera inscrite en lettres capitales dans nos livres d’histoire. Il y a un an, la Russie débutait son invasion en Ukraine, rappelant ainsi à l’Europe la terreur d’un conflit armé sur ses terres. Ce jeudi, à un crépuscule des 1 an de la guerre, Omerta acte sa naissance dans le marché de la presse. Pour sa première parution, le magazine d’enquêtes et de reportages aborde l’Ukraine avec le souhait de dévoiler « la vérité qui dérange ».
Pour son lancement, le titre édité par Omerta Média est tiré à 17 000 exemplaires pour la vente au numéro. Le magazine sera mis en place chez plus de 3 600 points de vente. Vendu 14,90 € sous la codification 19741, Omerta paraîtra sous le rythme d’un trimestriel. Au travers de ses 112 pages et d’un grand reportage photo dans le Donbass en Ukraine, le média met à contribution de nombreuses personnalités de premier plan tel que Michel Onfray, Maurice Gourdault-Montagne, Henri Guaino, Arno Klarsfeld, Bernard Squarcini, Georges Kuzmanovic, Jacques Baud, Alexandre Del Valle, Pierre Conesa ou encore le général Marill et le patron de l’école de guerre économique Christian Harbulot.
Une multitude de sujets en lien avec la guerre en Ukraine sont traités par Omerta. Les clients qui se laisseront tenter en apprendront davantage sur la perte de souveraineté française, l’OTAN, l’interventionnisme américain, l’arme du renseignement, l’empreinte de Bandera en Ukraine ou encore l’influence d’Erdogan dans la guerre. À coup de grandes enquêtes, d’analyses et de reportages, Omerta vise à briser les tabous, à partir des faits, et vous aidera à y voir plus clair sur le conflit qui sévit.