La nouvelle année arrive. Pour la Science se renouvelle aussi en dégainant une nouvelle formule qui n’altère pas “l’intention générale” de la publication, assure François Lassagne, rédacteur en chef, dans son édito. Vos clients peuvent la trouver chez les marchands de presse depuis le 19 décembre au prix de 7,50 euros (codification 13256).
Il y a du nouveau dans l’air
Cette nouvelle formule va de pair avec l’essence de la science qui “est, toujours affaire d’invention”, conclut le rédacteur en chef de la parution. Parler au mieux de cette discipline exige, d’après ses mots “de se réinventer parfois pour” la plus grande satisfaction des lecteurs.
Outre l’apparence du magazine, trois chroniques s’ajoutent à la publication. Écrites par un anthropologue, un spécialiste de l’intelligence artificielle et une historienne des sciences, elles étudient les connexions existantes entre la science et la société. Vos lecteurs y découvriront le travail de Perig Pitrou qui “se saisit des mille et un fils que les humains tissent avec la vie”, annonce le texte. Thomas Gerbaud de son côté décode les interactions qu’ont les humains avec l’intelligence artificielle. Enfin, Charlotte Bigg “analyse les images qui marquent l’aventure scientifique”, note l’édito.
Un dossier cible la réinvention de la causalité par la physique quantique. Une autre lecture du temps s’offre aux lecteurs de Pour la Science. Elle est expliquée par Hippolyte Dourdent.