Premiere prend l’accent américain. Une fois n’est pas coutume, le magazine spécialisé dans le septième art raconte une nouvelle fois « la petite histoire des grands films » dans sa déclinaison Premiere Classics (Codification : 12177 ; Prix : 14,90 €).
Disponible depuis ce matin, le trimestriel tourne la caméra vers l'Amérique et notamment l’ultime volet de la trilogie Il était une fois… de Sergio Leone, sorti en 1984. Le Romain du quartier populaire du Trastevere y revisitait les rêves et les cauchemars d'une Amérique. L’histoire d’Il était une fois en Amérique, qui passe des années de la prohibition à la fin des années 60, est explorée sous trois aspects : Robert De Niro, les femmes et l’Opium. Le chef d’œuvre crépusculaire
A l’heure des bilans de l’année, Premiere Classics joue à fond sur la fibre nostalgique. Il raconte le tournage infernal et cauchemardesque de Sorcerer par William Friedkin. Redécouvert et réhabilité longtemps après, ce remake du Salaire de la peur a subi un échec retentissant. La boîte à souvenirs s’ouvre sur le film de science-fiction Soleil vert de Richard Fleischer, qui décrivait un monde suffocant et apocalyptique. Comme d'habitude, huit fiches de films Première sont aussi à retrouver dans le magazine, afin d'approfondir ses connaissances cinématographiques.
Depuis son premier numéro, en 2017, Premiere Classics n’a jamais cessé de parcourir les grandes œuvres cinématographiques internationales. Les sagas américaines comme Rocky et Star Wars, mais aussi la comédie française Le Père Noël est une ordure ont été décryptées sous tous les angles.